Annie Abrahams & Suzon Fuks
Annie Abrahams remet en question les possibilités et les limites de la communication en général et, plus précisément, étudie ses modes dans des conditions en réseau. Abrahams est connue dans le monde entier pour ses oeuvres dans le Netart («Being Human» - online low tech mood mutators / not immersive. 1996 - 2007), ses expériences d'écriture collective, elle est une pionnière internationalement reconnue de l'art de la performance sur les réseaux sociaux numériques. Dans son art soigneusement scénarisé, elle a une propension à démontrer et révéler un comportement humain ordinaire en développant ce qu'elle appelle une esthétique de confiance et d'attention.
https://bram.orgSuzon Fuks est une artiviste sans frontières - interventionniste, chorégraphe, réalisatrice. Son travail relie l’art, la science et l’environnement, guidé par ses pratiques du mouvement.
Primée plus de vingt fois, Suzon a reçu entre autres un Fellowship du Conseil des Arts d'Australie, et un Copeland Fellowship (USA) afin d’approfondir sa recherche sur la performance en réseau, entamée en 2003, et pour laquelle elle est reconnue internationalement comme pionnière. Elle a également reçu un Green Room Award pour la vidéo-scénographie théâtrale exceptionnelle du spectacle The Quivering des Sacred COWs. Ses vidéo-danses immersives ont été finalistes de nombreux festivals. En 2011, Suzon Fuks fonde Waterwheel, une plateforme visionnaire en ligne d’art-science, sur la thématique et les problématiques de l'Eau. Ce forum d'expériences, d'échanges, d'expressions et d'expérimentations a suscité des collaborations et des performances innovantes de plus de 1500 artistes, scientifiques, activistes, enseignants et jeunes de 34 pays. https://suzonfuks.netJocelyn Allen
Né à Birmingham, au Royaume-Uni, en 1988, je suis une artiste qui travaille notamment dans le domaine de la photographie, du texte/hashtags, de la danse, de la performance et de la vidéo.
J'ai terminé mon premier projet d'autoportrait en 2010 et depuis ce temps je me mets en scène dans mon travail personnel. Les thèmes que j'explore souvent sont la dissimulation et la révélation, l'image corporelle, l'estime de soi, la confiance en soi et l'anxiété, depuis 2019, mon travail concerne également la grossesse et la maternité. Ma pratique est très thérapeutique pour moi grâce à elle, j'apprends à m'accepter moi-même et mon corps, tout en renforçant ma confiance. Cela m'aide également à comprendre mes pensées et mes sentiments, ainsi qu'à documenter ma vie.Kaja Cxzy Andersen (née en 1985, Stavanger, Norvège) crée des sculptures, des installations et les oeuvres basés sur internet, parfois combinés avec des éléments performatifs.
S'inspirant de la culture en ligne, des mythologies et des rituels banals quotidiens, son travail peut être considéré comme une réflexion humoristique du quotidien post-internet. Elle voit ses sculptures comme des avatars à la fois dans le sens où elles se substituent à sa présence physique et aussi dans le sens où elles symbolisent un Zeitgeist (esprit du temps) générationnel et comment nous vivons l'intimité à travers la technique. Depuis 2015, Andersen organise également des expositions et crée de l'art sous le nom de Lounge Corp. avec l'artiste islandais Ragnheidur Karadottir. Leur idée est de faire des expositions particulières au site dans des espaces non traditionnels et de créer un dialogue avec l'esthétique intrinsèque de chaque espace qu'ils abordent. Andersen est titulaire d'un MFA de la School of Visual Arts de New York (2016) et d'un baccalauréat en art contemporain de l'Académie de l'Art de Tromsø (2011) Me Andersen travaille actuellement de New York www.kajacxzyandersen.comPerry Bard (née à Québec) est une artiste interdisciplinaire qui travaille avec des films, des projets d'installation d'art public dans le monde entier et sur Internet.
Depuis qu'elle a établi sa pratique à New York en 1983, le travail de Perry Bard a été alimenté par des observations de son environnement immédiat et leurs interprétations dans un contexte global. L'espace entre la réalité et la fiction, le rôle de la technologie, le contrôle des médias, leur prolifération dans l'espace public se retrouvent dans les installations et les vidéos qu'elle a présentées au Musée d'art moderne, au Musée P.S.1, au Scanners Video Festival Lincoln Center, au Musée Reina Sofia de Madrid, au Musée d'art contemporain de Zagreb et de Bucarest, au Festival du film de Rotterdam, aux Biennales de Sao Paolo, de Montréal et de Carthagène. Le projet le plus connu de Bard, Man with a Movie Camera : Global Remake (commencé en 2007) est une recréation par la foule du film muet d'avant-garde de Dziga Vertov, Man with a Movie Camera, aujourd'hui iconique. Bard a décomposé le film de Vertov plan par plan et a lancé un appel mondial à contributions. Les participants pouvaient recréer chaque plan de la manière qu'ils souhaitaient. Chaque jour, le Global Remake, alimenté par un code, tire un plan au hasard d'une base de données pour reconstruire une nouvelle version de l'Homme à la caméra, garantissant ainsi que le film ne sera jamais deux fois le même. Le projet a été présenté aux festivals du film de Toronto, de Moscou et de l'IDFA, et a remporté des prix, notamment. Ars Electronica '08, Liedts-Meesen Technological Award 2010, Transitio_MX 2011, et a été installé dans plus de 50 lieux, dont des écrans LED publics à Manchester, Leeds, Norwich et Sheffield (Royaume-Uni), Federation Square Melbourne (Australie), e4c Seattle (États-Unis) et Parer Place Urban Screen (Brisbane). Les œuvres de Bard figurent dans les collections permanentes de Rhizome Artbase, Abecedaire du web, Fonds Régional d'Art Contemporain des Pays de la Loire (FRAC) Nantes France, Groupe Intervention Vidéo (G.I.V.) Montréal Canada, Heure Exquise Lille France, Banque d'Art du Conseil des Arts du Canada, Southeast Museum of Photography Daytona Beach Florida, V Tape Toronto Canada. http://www.perrybard.netNée au Texas, Bonnie Baxter vit et travaille dans le village montagneux de Val-David (Québec) depuis 1972. Elle enseigne à l’Université Concordia (Montréal) dans le cadre du programme des Médias imprimés depuis 1984. Elle s’est vu décerner le prix Télé-Québec (BIECTR) en 2019 et, en 2018, le prix Les Grands Soleils pour l’ensemble de sa carrière. Le prix Charles-Biddle, reçu en 2017, et le Prix à la création artistique en région remis par le CALQ en 2005, ont tous deux souligné sa contribution et son engagement envers sa communauté. Baxter a bénéficié de subventions accordées par le Conseil des arts et des lettres du Québec, l’Association des professeures et professeurs à temps partiel de l’Université Concordia et le Conseil des arts du Canada.
Ses séries d’estampes para-autobiographiques ont été exposées sur la scène internationale, et ses installations multimédias ont voyagé au Canada et aux États-Unis. Au cours des cinq dernières années, le travail de Bonnie Baxter a évolué pour inclure des installations à 360 degrés alliant son et réalité virtuelle. Son projet The Patch se veut une réponse éco sociale à la pandémie. À la fois jardin-sculpture in situ, espace d’art action et ressource alimentaire pour sa communauté, cette création est le prolongement naturel d’une pratique dédiée à une existence où l’art et la vie s’entremêlent joyeusement de façon délibérée. Sa série en cours, RatKind, fait appel à la conscience inter-espèces pour sensibiliser les spectateurs à l'environnement, tant sur le plan social qu’écologique.variante de textes :
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Simon Beaudry est un artiste transdisciplinaire qui vit et œuvre à Montréal et Trois-Pistoles. Il est diplômé d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal. Sa démarche explore l’identité québécoise et l’hybridation, ce qui lui permet de réinventer, transformer ou critiquer les morceaux qui constituent cette notion d’identité, inhérente à chacun. Par l’art, Beaudry crée le pays du Québec à défaut qu’il ne se fasse politiquement. La prise de liberté au cœur de sa démarche se traduit par des œuvres engagées et inclusives qui remettent en question nos conventions et limitations, qu’elles soient sociales ou politiques, mais aussi les symboles et les comportements que l’on associe à l’identité, toujours en mouvance et en redéfinition.
Si au départ, elles étaient principalement constituées d’images et d’objets destinés à l’espace privé (centre d’art), elles sont devenues des performances en art-action et des installations déployées en immixtion dans l’espace public. Chacun de ces «chantiers artistiques» constitue les stations du chemin de que trace sa démarche vers le pays qu’il construit. Simon a présenté près de 20 expositions solo et plus de 50 œuvres en performance dans l’espace public effectuées depuis 2012. Depuis 2014, il a intégré une démarche documentaire à ses œuvres et des composantes technologiques et interactives depuis 2016.Sara Bezovšek (1993) est une artiste en arts visuels axée sur les nouveaux médias, le cinéma expérimental et le design graphique, elle est également titulaire d'une maîtrise des beaux-arts et de design de l'Académie de Ljubljana. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles, entre autres à Ljubljana à l'espace projet Aksioma, Kamera à Kino Šiška, Osmo/za, sloART, DobraVaga, P74, SCCA-Ljubljana et Ravnikar Gallery Space, en ligne dans Feral File, à IZIS.SND. A participé à la biennale en ligne The Wrong Biennale et sur la plate-forme en ligne Do Not Research. Elle a reçu le prix Prešeren pour les étudiants en 2018 e été cité pour le prix OHO Young Artist Award en 2022. Elle a reçu le 1er prix au Festival du court métrage de Ljubljana (FeKK) pour l'un de ses courts métrages en 2021, le prix Vesna du meilleur film expérimental slovène en 2022. En 2023, elle a travaillé sur un projet pour la plate-forme de recherche [bêta permanente] de la galerie suisse Fotomuseum Winterthur.
ma page Web: www.sarabezovsek.comL'œuvre de Simon Bilodeau, jeune figure de l'art contemporain montréalais, incarne une exploration audacieuse et conceptuelle. Son cheminement artistique, ayant été incarné par une décennie de représentation au sein de la renommée galerie Art Mûr, s'est récemment tourné vers de nouvelles sphères d'expérimentations, créant ainsi un cadre propice à de nouvelles potentialités pour son art.
Ses expositions ont été présentées au Québec et au Canada jusqu'aux horizons vibrants de Miami, Dallas, Savannah, New York, Venise, Berlin et bien d'autres hauts lieux d'expositions d'élite et ont suscité l'admiration tant des critiques éclairés que du public avide de découvertes. Bilodeau s'est démarqué par une approche singulière de l'art contemporain, repoussant les frontières conceptuelles tout en préservant une réflexion profonde sur les dynamiques de notre époque. Bien que les nouvelles technologies ne revêtent pas le statut de vecteur principal pour la matérialisation de ses propositions artistiques, il s'en est toujours inspiré afin de nourrir son processus de création. Ainsi, il intègre de manière subtile et méticuleuse, les influences technologiques dans son langage artistique, afin d’offrir un regard juste et précis sur le monde contemporain. L'œuvre de Bilodeau se distingue par son langage visuel unique et sa sensibilité aux enjeux de notre époque. Son approche novatrice, alliant la maîtrise des techniques traditionnelles à une ouverture aux nouvelles possibilités, fait de lui une voix singulière sur la scène artistique contemporaine. Son œuvre évolutive incarne une vigueur créatrice, mettant en exergue l'évolution constante de l'expression artistique en réponse aux contingences de notre époque.Catherine Boisvenue Ménard est une artiste interdisciplinaire créant des œuvres picturales et sculpturales, des installations ainsi que des vidéos performances. Son travail établit un dialogue entre le pouvoir, les tensions et les vulnérabilités du corps face à la nature. Il façonne l’imaginaire et ouvre un questionnement sur la façon d’entrer en relation et de se réconcilier à notre corps, aux différentes forces de vie et au langage de l’invisible.
Boisvenue Ménard est diplômée d’une maîtrise en beaux-arts, peinture et dessin, de l’Université Concordia et d’un baccalauréat en art visuel et médiatique de l’Université du Québec à Montréal. Elle a exposé ses œuvres dans plus d’une vingtaine d’expositions solos et collectives : au Brésil, en Allemagne et au Canada/Québec. Depuis 2016, elle a participé à des résidences artistiques à Rio de Janeiro, Havane, Bonn et Montréal. Récipiendaire de plusieurs bourses du conseil des arts du Canada, du conseil des arts et des lettres du Québec et du conseil des arts de Montréal, Boisvenue-Ménard a obtenu la reconnaissance du Tom Hopkins Award et de la Harriet and Abe Gold entrance Bursary de l’Université Concordia, ainsi que le premier prix du Jury de la Foire d’Art contemporain de St-Lambert (2019).Donner vie à la géométrie par le mouvement des formes et par les couleurs, faire fi du temps, jouer avec l'espace, créer une animation captivante afin d’éveiller tous les sens du spectateur. L'amener dans un univers abstrait où les lignes et les courbes s'animent, où les couleurs se fondent et se métamorphosent, où le temps semble s'étirer et se comprimer, et où l'espace se transforme dans un tableau qui n'est plus figé dans le temps.
Les formes géométriques, telles que les cercles, les triangles, les carrés, les ellipses, prennent vie et se meuvent avec grâce. Les lignes ondulantes se déplacent en harmonie, réalisant des motifs fluides qui semblent flotter dans l'air. Les courbes serpentent, se tordent et se déploient, donnant l'impression d'une chorégraphie céleste. Les couleurs, vibrantes de vie, se fondent et se mêlent en un kaléidoscope éclatant. Les teintes chaudes dansent avec les teintes froides, construisant des harmonies qui éveillent les émotions. Les nuances s'estompent doucement, puis s'intensifient soudainement, nous transportant dans un tourbillon de sensations visuelles. Le temps, quant à lui, se manifeste de manière énigmatique. Il se dilate, ralentit, puis s'accélère brusquement, laissant croire que les formes et les couleurs se modifient à une vitesse vertigineuse. Les instants se figent, permettant une contemplation minutieuse des détails, puis s'évanouissent dans l'élan du mouvement. Et dans cet espace infini, les formes géométriques naviguent avec aisance. Elles se déplacent sans contrainte, s'entrelaçant et se séparant dans une danse fluide. Les dimensions se réinventent, les proportions se transforment, créant un paysage tridimensionnel où l'œil se perd et se régale de la beauté des formes qui se déploient devant lui. La géométrie du mouvement des formes, de la couleur, du temps et de l'espace est une expérience optique qui pousse les limites de notre perception. Elle nous invite à explorer l'inconnu, à laisser notre imagination s'envoler et à nous perdre dans la magie de cette aventure. C'est une symphonie abstraite qui éveille l'imaginaire, nous rappelant que l'art peut magnifier la réalité et nous emmener vers des horizons infinis de créativité et d'expression.Michel Boulanger, né à Montmagny, est un artiste visuel qui vit et travaille à Montréal et à L’Islet. Il détient une maîtrise en arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal où il a été professeur à l’École des arts visuels et médiatiques, de 2001 à 2020 et a contribué au développement de la recherche création en cofondant le Grupmuv, laboratoire de recherche création en dessin et image en mouvement. Il a participé à de nombreuses expositions au Canada et à l'étranger et son travail a été présenté dans des musées nationaux, dont le Musée des beaux-arts de Montréal et le Musée national des beaux-arts du Québec. En 2004, son travail faisait l'objet d'une exposition solo au Musée d'art contemporain de Montréal. Il a aussi exposé dans plusieurs centres d’artistes québécois et canadiens et ses oeuvres font partie de nombreuses collections publiques et privées prestigieuses.
Andy Heck Boyd, (né en 1981) est un artiste originaire d'Exeter (NH), il réside et travaille dans le Kentucky avec sa femme, l'artiste Kasper Melted.
est une artiste Montréalaise basée à Vancouver. Sa pratique se penche sur la perception visuelle et ses idéologies en ce qui a trait au réel versus l’imagé et l’imaginaire, sous l’optique de l’image en mouvement, de la photographie et de l'art installatif. Ses œuvres font l’objet d’expositions individuelles et de groupe à travers le Canada et internationalement, incluant des galeries et festivals à Paris, New York, Rio de Janeiro, Madrid, Bâle et Beijing. Elle a participé à des résidences à New York, au Centre Banff, en Espagne, en Islande, ainsi qu’à des événements tels qu’Art Souterrain (Montréal) et Capture Photography Festival (Vancouver). Ses expositions individuelles récentes incluent Staring at the Sun pour la biennale de Quebec, Second Sight à la AC Institute à New York, Paracosmic Sun à la Galerie Monica Reyes et Sight Shifting à galerie Joyce Yahouda à Montréal, entre autres. Ses oeuvres se retrouvent dans les collections de Microsoft, Scotiabank, Caisse de Dépôt et Placement du Québec et la Banque oeuvres d’art du Canada. Briard enseigne dans la faculté des arts à l’Université Emily Carr. Sa pratique est représentée par la galerie Monica Reyes à Vancouver.
Edgar Alan Rodriguez Castillo
Artiste multidisciplinaire né à Mexico, je travaille à New York. Je détiens un baccalauréat en philosophie de l’Universidad Iberoamericana. En 2019, j’ai reçu mon diplôme en Beaux-Arts de la School of Visual Arts de New York, où j’ai obtenu la bourse Suzanne Anker pour réussite exceptionnelle. J’expose mes œuvres à New York, au Mexique et au Canada.
Vincent Charlebois est un artiste interdisciplinaire. Son travail créatif s’articule autour d’un assemblage de disciplines tel que la performance, le texte et l’art médiatique. Sa démarche de recherche-création s’intéresse aux interfaces technologiques avec la nature et aux rapports humain-machines dans un contexte de dématérialisation des échanges. Ses œuvres explorent plus précisément les thèmes de la perceptualisation des écosystèmes à travers la mise en données d'interactions environnementales et l'archive comme matière poétique et politique. Détenteur d'un baccalauréat en Intermédia et Cyberarts de l'Université Concordia à Montréal et d'une maîtrise en construction écologique de l'Institut d'Architecture Avancée de Catalogne à Barcelone, il a fabriqué des forêts au Canada pendant douze saisons et vit présentement à Montréal.
Petra Cortright (n 1986, Santa Barbara, CA) est une artiste contemporaine dont la pratique artistique multiforme découle de la création et de la manipulation de fichiers numériques. Ses œuvres d'art numériquement conçues existent physiquement sous de nombreuses formes : imprimées sur des surfaces fines, projetées sur les murs existants, ou sculptées mécaniquement à partir de la pierre. Elle est une membre fondatrice de ce qui est devenu le mouvement artistique « Post Internet » du milieu à la fin des années 2000 avec ses vidéos Youtube et ses expositions en ligne. Plus tard, Cortright a commencé à concevoir laborieusement des peintures numériques en manipulant, couche après couche, des images dans Photoshop qu'elle a ensuite transféré sur des matériaux tels que l'aluminium, du lin, du papier et des feuilles de plastique acrylique. Cortright en tant qu'artiste est à la fois peintre, graphiste, monteuse et productrice, ce qui caractérise sa singularité artistique dans le milieu de la culture visuelle contemporaine.
Xavier Dallet aka Chan Somethingstar, est un net artiste, né le 05 aout 1980 à Villeneuve sur Lot. Aprés avoir passé son enfance au Sénégal il vit son adolescence à Caen en Normandie. Il a fait successivement de 1997 à 2006, les beaux art de Caen, de Cherbourg, puis du Havre, également en 2015, l'Effet, école de photographie à Paris, où il y travaille et y réside depuis 2005. Chan Somethingstar est un artiste de net collectives, dont les oeuvres présentées sont des captures d'écran. Il est présenté par deux groupes les Perfect Users, et le Baobab Users.
Instagram: @chan_somethingstarJoseph DeLappe Originaire de San Francisco, Joseph DeLappe s’intéresse aux concordances de l’art, de la technique, de l’engagement social/activisme et des stratégies interventionnistes explorant nos contextes géopolitiques. Travaillant actuellement à Édimbourg, en Écosse, il est professeur de jeux et médias tactiques à l'Université Abertay, Dundee.
Il crée des oeuvres avec l’électronique et les nouveaux médias depuis 1983, ses travaux sur la performance de jeux vidéo en ligne, la sculpture et l’installation électromécanique ont été présentées aux États-Unis et dans le monde entier. Il a conçu des œuvres pour des lieux tels que Eyebeam Art and Technologie à New York, le Guangdong Museum of Art, Chine et Transitio MX, Mexico, parmi beaucoup d'autres. Les travaux créatifs et les actions ont été largement publié dans les revues savantes, les livres et les médias populaires. En 2016, Killbox, sa collaboration avec le biome Collectif à Dundee, a été mise en lice pour l’obtention d’un prix de le BAFTA (British Academy of Film and Television Arts). En 2017, Joseph était lauréat d'une bourse Guggenheim. Site web: http://www.delappe.netNegin Ehtesabian Lichty Artiste multidisciplinaire
Formation :Nika Fontaine, basée à Villalonga en Espagne, née en 1985 à Montréal au Canada.
Titulaire d'une maîtrise en beaux-arts et entrepreneure autodidacte, elle entama une transition de genre en 2014. Cette expérience lui a permis de réfléchir sur l'Ego en tant que construction et sur les énergies polarisantes qui nous façonnent. Depuis 2021 sous la bannière Aurigin, elle construit un centre pour arts et spiritualité dans les montagnes de Valence en Espagne. Par le biais de l'art, je spiritualise la matière et matérialise l’esprit dans des œuvres qui expriment les concepts de pleine conscience et de transmutation. Je m'inspire principalement de philosophies spirituelles telles que l’alchimie, la Kabbale, l'Hermétisme, le rêve lucide, ainsi que de visions perçu lors de voyages méditatifs. L'intemporalité et la capacité à rompre les schémas de comportement de jugement et d'autodestruction sont ce qui rend ces philosophies pertinentes aujourd'hui. Cette quête du sublime se traduit par une célébration proactive du corps, de l'esprit et de l'âme qui se manifeste pour l'épanouissement quintessenciel de tous. Mon art peut être utilisé comme un véhicule pour se développer et se transporter vers de nouveaux domaines de compréhension et d'acuité sensorielle. Que ma pratique soit un lieu de repos en cas d'urgence spirituelle. J'aime considérer mon chemin comme un parent des efforts alchimiques et un témoin d'une voie initiatique.Katherine Frazer et Mackenzie Davidson
Mackenzie Davidson (b. 1994, Toronto) est un artiste basé à Toronto technologue créatif dont les origines sont (asiatique et cocasienne). Leurs pratique multidisciplinaire examine l'éphémère de ses relations avec la technologie et les autres, en construisant des expériences basées sur le Web et des communautés sociales qui reflètent la nostalgie, la mémoire et l'intimité.
Davidson est associé fondateur chez 4 us & 4 autres, associé à la station de radio communautaire ISO de Toronto, et était auparavant ingénieur concepteur chez Tlon, technologue créatif chez SSENSE, associé fondateur à 56 ans. Les travaux passés de Davidson ont été exposés à Ambiguous Ardour, Furthermore, et Centerfold, et présentés dans le Cyberfeminism Index aux côtés de External Pages. Katherine Frazer est une designer et une artiste qui développe et subvertit la technologie de tous les jours. La pratique de conception de Frazer se concentre sur le développement d'applications pour la créativité, en travaillant sur plusieurs applications populaires et gratuites comme Keynote, Pages, Numbers et Freeform d'Apple, et l'outil de conception Figma. Sa pratique artistique utilise ces outils de productivité pour d'autres moyens - créer des collages, des animations et des peintures numériques en utilisant le matériel source de sa pratique de l'ikebana et de son iPhone. La combinaison de ces outils et de ses propres atouts numériques, photographiques et photogrammétriques sert de moyen de développer et évoluer dans vaste tradition de travaille personnelle. Son travail a été inclus dans la collection Rhizome Artbase et Museum of Crypto Art, présentée dans Codame Art and Tech Festival, Dazed Digital, Nylon Mag et PAPER Magazine, avec des commandes pour RefractionDAO, NewHive (RIP) et MTV. Elle a été invitée à être l'une des cinquante premières artistes de la plate-forme NFT Foundation, et a pris la parole lors de l'édition 2021 du panel Net Aesthetics de New Museums. Elle est diplômée en conception de la communication et en interaction de l’ordinateur et l’humain de l'Université Carnegie Mellon. Frazer est basé à Brooklyn, New York.Carla Gannis est une artiste qui utilise comme mode d’expression le transmédia. Elle est basée à Brooklyn, New York. Elle produit des œuvres qui analyse les complications étranges entre la réalité ancrée et la réalité virtuelle, la nature et l'artifice, la science et la science-fiction dans la culture contemporaine. Fascinée par la sémiotique numérique, Gannis adopte une approche de la terreur du vide dans sa pratique artistique, s'inspirant de la communication en réseau, de l'art et de l’histoire du féminisme, des technologies émergentes et de la fiction spéculative.
Gannis est titulaire d'une maîtrise en peinture de l'Université de Boston et d'un BFA en peinture de l'Université de Caroline du Nord à Greensboro. Aujourd'hui, elle enseigne la technologie « de pointe » en tant que professeure de l'industrie à la Tandon School of Engineering de l'Université de New York dans le cadre du programme de conception intégrée et de médias. Le travail de Gannis a fait l’objet de plusieurs expositions, des projections et des projets Internet à travers le monde. Ces projets les plus récents comprennent wwwunderkammer au Halsey Institute of Contemporary Art, Charleston, SC ; Virtues and Vices à la Telematic Gallery, San Francisco, CA ; Welcome to the wwwunderkammer au Pérez Art Museum Miami ; et The Elevated Line à la Ryan Lee Gallery, New York, NY. Présenté régulièrement dans des conférences sur l'art numérique et la réalité fantasmagorique, en mars 2019, Gannis a été conférencière au SXSW Interactive Festival sur le panel «Human Presence and Humor Make Us Better Storytellers». Plusieurs médias écrits ont publié le travail de Gannis The Creators Project, Wired, FastCo, Hyperallergic, The Wall Street Journal, The New York Times, El PaÍs et The LA Times, entre autres. En 2015, sa fiction spéculative a été incluse dans DEVOURING THE GREEN:: fear of a human planet: a cyborg / eco poetry anthology, publié par Jaded Ibis Press. Elle est diplômée de l'année 7 de NEW INC, dans la piste XR: Bodies in Space, New York, NYÉmilie Gervais
Collaborant dans tout avec tous et toutes, Émilie Gervais est une exploratrice de l'esthétique, de la sémantique et des œuvres WWW des réseaux numérisés. Elle dépeint la nature/s/s/ss et c'est tout.
La pratique artistique de Philippe Hamelin est au croisement des arts visuels, du cinéma et de la vidéo expérimentale et prend principalement la forme d’installation, de monobande vidéo et d’animation d’image de synthèse. Les différents modes d’association du montage, vidéographique ou spatial, sont au cœur de ses recherches. Il tente de créer des agencements poétiques entre l’humain et les médiums technologiques, tout en mettant en question les relations que l’on développe avec et à travers la technologie. S’intéressant à ce qui lie effets spéciaux et affects, aux corrélations entre le mouvement extérieur et intérieur du mouvoir et de l’émouvoir, ses essais résultent souvent en un spectacle techno-dramatique.
Depuis 2001, ses œuvres sont présentées en galerie de même que dans de nombreux festivals au Canada et dans le monde. En 2011, Axenéo7 (Gatineau) lui consacrait une première exposition solo d’envergure. Depuis 2013, ses œuvres ont été présentées en galerie à Platform (Winnipeg), Occurrence, Dazibao, Galerie Joyce Yahouda (Montréal), Galerie des Arts visuels de l’Université Laval (Québec), Neutral Ground (Regina), Sporobole (Sherbrooke) à Platform (Munich), à la foire d’art Poppositions (Bruxelles) de même que dans de nombreux festivals au Canada et à l'étranger dont le festival Espace [IM] media (Sherbrooke) où il présentait l’installation La Fontaine et la Chute III en tandem avec Julie Tremble. En 2013 il représentait le Québec aux compétitions culturelles des Jeux de la Francophonie (Nice) et remporta la médaille d’argent dans la catégorie sculpture-installation. En 2015, il reçut le prix pour le meilleur film d’art et expérimentation au 33e rendez-vous du cinéma québécois. En 2014, il initie le projet La Mirage avec Sophie Bélair Clément et Vincent Bonin. En 2017 la Galerie Léonard et Bina Ellen lui consacrait une exposition solo et en 2019 il exposait son travail au Casino du Luxembourg Forum d’art contemporain. Philippe Hamelin détient un diplôme d’Études cinématographiques de l’Université de Montréal et une maîtrise en Beaux-Arts de l'Université Concordia. Il enseigne les arts visuels au Cégep de l’Outaouais et est chargé de cours à l’École multidisciplinaire de l’image de l’UQO. Il vit et produit à Montréal.À la croisée des arts visuels et de la littérature, la Montréalaise Julie Hétu présente, depuis 1998, des œuvres sonores, visuelles, littéraires et performatives influencées par ses recherches en anthropologie. Détentrice d’un doctorat en art, littérature et anthropologie de l’Université Concordia, elle se passionne pour les différentes façons d’écrire et les premières écritures. Elle fait paraître en 2020 aux éditions Nota bene L’écrivain préhistorique. Naissance du chant et de l’écriture dans la préhistoire..
Depuis 2021, elle explore de nouvelles avenues narratives et artistiques au sein du collectif L’humanité qui ouvre (Véronique Béland et Mario Côté), dont les recherches ont notamment été présentées dans le cadre du colloque international L’humain qui vient au Fresnoy (France) et à Hexagram (Montréal). En 2006, elle obtient une Maîtrise en création (arts visuels et médiatiques) à l’Université du Québec à Montréal (CA) et intègre la programmation dans une pratique hybride alliant roman et arts médiatiques. Durant cette période, elle présente son travail performatif, ses livres et ses vidéos interactives au Québec, en France, au Brésil et au Mexique. Son roman-vidéo Dans le milieu littéraire, elle se fait connaître pour son livre audio Baie Déception pour lequel elle reçoit le prix du public La plume de paon (2011) au Centre national du livre de Paris. Paraît ensuite son roman Mot (éditions Triptyque), finaliste au prix France-Québec et au prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec et en 2018 son roman Pacific Bell (éditions Alto), qui sera adapté au cinéma par la réalisatrice Sandrine Béchade avec qui elle assure la coscénarisation. Elle participe également à différents ouvrages collectifs, dont Dans le ventre : histoires d’accouchement (éditions XYZ, 2019), Terre-Neuve (La Revue Littéraire, no 177, Éditions Léo Scheer, 2019), Le Livre, « produit culturel »? De l’invention de l’imprimé à la révolution numérique, Paris, Éditions Orizons, 2012). En 2023, elle s’intéresse aux romans co-écrits par des auteurs et des IA. Elle participe à un atelier avec Nadia Seraiocco, conseillère mobilisation et partage des connaissances chez Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique (OBVIA), et bénéficie d’un mentorat qui lancera les bases d’un projet d’écriture en imaginaire artificielle avec l’artiste Véronique Béland croisant la génération de texte, l’intelligence artificielle, la fabrication de machines et les signes préhistoriques.Le travail d'Edward Hillel est à la croisée de l'art, de l'activisme et de la pratique sociale. Produisant des photographies, des installations, des projets publics, des estampes, des dessins, des objets ou des publications, ses projets explorent l'histoire et la mémoire, les villes en mutation, l'espace public et les thèmes contemporains d'urgence prioritaire . Exposé et publié à l'échelle internationale, il a reçu le Prix des arts visuels de la critique allemande, le Prix Alain de Rothschild, le Spiro Institute Arts Award, le Prix Japon-Canada et le Golden Sheaf Film Award.
https://www.edwardhillel.com www.gproject.org www.harlembiennale.org www.125timeinharlem.org www.instagram.com/p/CWYbHuJl1mZ/Faith Holland est une artiste, commissaire, critique et professeure. Sa pratique artistique multimédia est axée sur la théorie du genre, l’intimité et la technologie.
Dans les œuvres qui expriment les négociations entre les relations physiques et celles qui résident dans les individus avec les techniques numériques, Mme Holland utilise des mesures égales d’humour et de tendresse. Le collage constitue son outil principal, comme une tactique unificatrice à travers les médias. Les œuvres de Mme Holland prennent diverses formes, dont la sculpture, la performance, la vidéo, les GIF animés et le net-art. Elle a exposé ses œuvres dans divers endroits, notamment The Whitney Museum of American Art (New York), NRW Forum (Düsseldorf), Fotografisk Center (Copenhague), Boulder Museum of Contemporary Art (Boulder), Human Resources (Los Angeles), et DAM Gallery (Berlin). Son travail a été abordé dans des publications telles que Artforum, le New York Times, le New Yorker, le Sunday Times UK, Elephant, Hyperallergic, Broadly, ArtSlant et le Observer. Me. Holland a été finaliste de la NYFA Fellowship en Art électronique/numérique, artiste en résidence au Jamaica Center for Arts and Learning et Harvestworks, et finaliste du prix Post-Photography Prototyping du Fotomuseum Winterthur. Elle est lauréate d'une bourse (2021) du New York State Council on the Arts. Elle a présenté des expositions solo à TRANSFER (New York/Miami), à L'Unique (Caen, France), et en 2023 a présenté sa première exposition individuelle à la galerie Microscope (New York).Renata Janiszewska peint sur une toile électronique. Dans sa pratique transdisciplinaire, elle anime ses œuvres fixes, animations pour lesquelles elle crée ses propres bandes sonores. Actuellement, elle intègre les thèmes du hasard, du techspressionnisme, de la biodégradation, de l'intoxication, du féminisme et du chamanisme dans ses œuvres.
Janiszewska vit à Lion’s Head, Canada. Twitter Instagram Vimeo channelRita Jimenez est une artiste conceptuelle qui travaille avec la lumière avec multimédia. Me Jiminez est basée dans le New Jersey. La lumière n'est pas seulement son médium d'expression, mais aussi, c'est le sujet principal tout au long de son œuvre. Elle utilise une combinaison de films, de photographies, de vidéos, de projections et d'installations lumineuses utilisant des prismes, des matériaux irisés et de la diffraction. Elle explore des concepts éphémères tels que le sublime et le surréel à travers la perception spatiale et sensorielle.
Elle est titulaire d'un baccalauréat en photographie et d'une maîtrise en nouveaux médias de la New Jersey City University.Dina Kelberman est une artiste dans le milieu du multimédia qui explore la nature humaine en utilisant des vidéos et images qu'elle trouve sur différentes plateformes numériques. Ses compilations créent un portrait de notre besoin compulsif de nous connecter, de créer et de détruire. Elle a créé des pièces sur le Web pour le New Museum et l'Institut Marina Abramović et expose à l'international. Son travail a été couvert par le New York Times, Art21, NPR, des livres de théorie sur l'art et des manuels scolaires. En 2019, elle a terminé son premier long métrage de recontextualisation, The Goal Is To Live et en 2020, elle a créé un être entièrement nouveau. Elle est actuellement en résidence de longue durée au Fotomuseum Wintherthur, en Suisse, en préparation pour l'exposition «Lure of the Image» en 2025.
Moridja Kitenge Banza est un artiste canadien d’origine congolaise, né à Kinshasa en 1980 en République démocratique du Congo. Il est diplômé de l’Académie des beaux-arts de Kinshasa, de l’École supérieure des beaux-arts de Nantes Métropole ainsi que de la faculté des Sciences humaines et sociales de l’Université de La Rochelle. En 2010, il reçoit le 1er prix de La Biennale de l’Art africain contemporain, DAK’ART, pour la vidéo Hymne à nous et son installation De 1848 à nos jours. Il a reçu un Prix Sobey en 2020. Le Musée des beaux-arts de l’Ontario (AGO) a présenté une grande installation de l’artiste en 2021. Son travail a notamment été présenté au Musée Dauphinois (Grenoble, France), au Museum of Contemporary Art (Rosklide, Danemark), à la Arndt Gallery et la Ngbk (Berlin, Allemagne), à la Biennale Internationale de Casablanca (Casablanca, Maroc), à la Fondation Attijariwafa bank (Casablanca, Maroc), à la Fondation Blachère (Apt, France), au Musée des beaux-arts de Montréal (Montréal, Canada), à la Fondation Phi (Montréal, Canada), au Projet Casa (Montréal, Canada), au Musée d’art contemporain de Montréal (Montréal, Canada) et au Musée des beaux-arts du Canada (Ottawa, Canada). On compte des oeuvres de l’artistes dans les collections du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée des beaux-arts de l’Ontario (AGO) ainsi que dans de nombreuses collections corporatives telles BMO, la Caisse de dépôt et de placement du Québec, RBC et TD Bank Corporate Art Collection.
« Mark Klink fut et a eu une multitude d'emplois et d'activités: Il a balayé des sols, travaillé dans une usine, a été un athlète, un petit fonctionnaire, un sauveteur, un programmeur informatique et un imprimeur dans la tradition du métier. Pendant vingt ans, il a enseigné l'informatique à des enfants et à d'autres éducateurs. Mais ce qu'il préfère (hormis la famille), c'est faire des images insolites. »
Patrick Litchy est un artiste du domaine technologique, écrivain, commissaire, éducateur et activiste qui explore la façon dont les médias façonnent notre perception de la réalité.
Lichty est connu pour son travail individuel, ses collaborations avec son partenaire, Negin Ehtesabian, et son travail d’équipe au sein des groupes activistes RTMark, The Yes Men, le premier du groupe de performance virtuel Second Front, et collaborateur avec Pocha Nostra, Critical Art Ensemble, Terminal Time, Morehshin Allahyari et Cao Fei. Il est titulaire d'une maîtrise en art médiatique de la Bowling Green State University, est un boursier Herb Alpert/Calarts Fellow, Lauréat du prix New Century/New Media du Smithsonian Museum of American Art et récipiendaire d'une mention d’honneur Golden Nica du prestigieux Ars Electronica Festival. Finalement il a également participé aux biennales Whitney, Venise, Maribor, Yokohama et Melbourne Design, et au festival du film de Sundance, Berlin et Melbourne. En tant qu'écrivain/éditeur, Lichty a dirigé le New media Journal «Intelligent agent» pendant dix ans, publié par la conservatrice d'art numérique du Whitney Museum of American Art, Christiane Paul.Il a aussi eété publié par de nombreuses maisons d’édition, dont les presses universitaires MIT, Oxford et Blackwell et et il a des livres/chapitres avec l'Institut for Networked Culture d'Amsterdam. Il est professeur adjoint de médias numériques créatifs à la Winona State Université de Winona, Minnesota.Jess MacCormack est un artiste queer et fou qui travaille à Vancouver sur les territoires ancestraux non cédés des Nations xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Sḵwx̱wú7mesh (Squamish), et sə̓lílwətaʔɫ (Tsleil-Waututh).
La pratique de Jess MacCormack a pour but d’explorer et d’exprimer des liens entre la violence institutionnelle et la réalité sociopolitique des traumatismes personnels. Travaillant avec les communautés et les personnes touchées par la stigmatisation et l’oppression, ils utilisent des plates-formes culturelles et des réseaux de distribution pour faciliter les collaborations qui positionnent l’art en tant qu’outil permettant de produire un pouvoir personnel et politique.. Le travail numérique de Jess MacCormack a été partagé sur diverses plates-formes en ligne, comme le projet VICE Creator, PAPER Mag, Art F City et même le Tumblr de la Maison blanche. Leurs animations ont été projetées à l’étranger dans des festivals tels que le Festival international d’animation d’Ottawa, le Festival de films transgenres Transcreen d’Amsterdam, le Festival de films transgenres MIX-26 de New York, le Festival de films imaginatifs In Out et le Festival international de films on Art (FIFA). Ils détiennent une maîtrise en art public et nouveau stratégies artistiques de l'Université Bauhaus (2008) et ont été professeur adjoint en arts plastiques à l'Université Concordia (2010-2013). Jess est actuellement professeur chargé de cours à Emily Carr University of Art + Design et commence un doctorat à SFU cet automne.Architecte, designer, peintre, photographe, vidéaste, poète, voyageur du monde et pour toujours un chercheur dans l'âme, Alessandro Mangiarotti a toujours cherché à renverser le statu quo, se réinventer et inspirer les autres par sa créativité infatigable.
Alessandro Mangiarotti a toujours vécu de son art, et ses œuvres font partie de collections privées en Italie, Suisse, Allemagne, France, Japon, Australie, États-Unis et Canada.•Artiste multidisciplinaire et animatrice à Montréal
•Tiens un baccalauréat en arts visuels de l’université Concordia à Montréal
•Étudie le film d’animation à l’université Concordia
•Pratique une multitude de disciplines comme la peinture, la gravure, la performance et l’animation
•Oeuvres ont été exposées dans la biennale Wrong en 2019 et 2021
•Obsédée de rêves
Nicolas Mavrikakis est critique d'art. Il sévit actuellement dans le journal Le Devoir après avoir écrit dans Voir Montréal (1998-2013). Il a aussi écrit de nombreux textes pour des revues canadiennes, dont deux où il a été membre des comités de rédaction (Spirale et ETC). De 2010 à 2012, il a été assistant-directeur à la revue Espace.
Mavrikakis est également commissaire indépendant. En 2016-2017, il a organisé la rétrospective de l’artiste Pierre Ayot dans huit lieux à Montréal, rétrospective durant laquelle, avec Marthe Carrier, il a recréé La croix du mont Royal, œuvre phare de l’événement Corridart en 1976. Il a entre autres présenté la Biennale de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (2014), Déclic 70 (2011-2013), Entreprise collective (2011), Artefact Montréal (2007), le 25e Symposium d'art contemporain de Baie-Saint-Paul (2007) et Comment devenir artiste (2005). Il a aussi commissarié des expositions de Thierry Marceau, Alana Riley, Marie-Claude Bouthillier, Mathieu Lefèvre, Rachel Monosov, Massimo Guerrera (The Invisible Dog Art Center à Brooklyn)... En plus de ces activités, il enseigne l'histoire de l'art et la littérature française, mais a aussi professé l'histoire du cinéma, l'histoire de la danse, les arts et les communications. Son passe-temps favori est d'assassiner (symboliquement) les artistes. Mavrikakis a écrit plusieurs livres. En 2015, il a publié le livre La peur de l’image (Éditions Nota bene). En 2017, il a aussi écrit la biographie de Pierre Théberge, qui fut directeur de deux musées d’art au Canada. En 2021, avec Chantal Boulanger et Laurent Vernet, il dirigeait L’illusion postmoderne ? Réflexions sur l'évanescence d'un concept en arts visuels. En tant qu'artiste, Mavrikakis a réalisé plusieurs documentaires sur l'art et a élaboré des expositions entre autres à la galerie Joyce Yahouda. Ses travaux d'artiste traitent de la notion de mémoire à travers la performance et l'installation. Parmi ses expositions, il faut noter Pourquoi je suis comme je suis à la galerie Joyce Yahouda en 2012, expo-performance où il expose sa propre mère au public pendant plusieurs jours, et L’art en vitrine en 2021, œuvre à propos de Joseph Beuys qui fut montrée dans le cadre de l’expo Transmission + ReTransmission.Jaime Martínez est un photographe et artiste visuel mexicain. Il vit et travaille dans sa ville natale, Monterrey, au Mexique.
Son œuvre est principalement axée sur les portraits et les paysages. Depuis 2008, il se spécialise en réalisant des photographies animées qui expriment un mélange coloré et vivant de techniques analogiques et numériques, en particulier ses images en 3D stéréoscopique. Depuis 2009, il collabore avec le rappeur et artiste visuel britannique M.I.A. Jaime Martínez https://linktr.ee/jaimemartinezLynn Millette travaille avec la peinture et les médias électroniques. Elle a une compréhension détaillée en matière de culture, notamment en technologie, philosophie, psychologie, littérature et sciences humaines.
Mme Millette a présenté plusieurs expositions solos, plus récemment, Road Trip, à la Maison de la culture Janine-Sutto (Montréal) et Les Fenêtres dans l’eau, à celle de Notre-Dame-de-Grâce (Montréal). Les expositions de groupe récentes incluent, L'art n'était qu'un substitut pour Internet, la 5ième biennale Wrong, Epicentre, Valence, Espagne, l’exposition principale de la 4e Wrong Biennale et Uncommon à la John B. Aird Gallery (Toronto). Site web: lynnmillette.rsight.netPetra Mueller est une écrivaine et artiste visuelle vivant à Montréal. Son travail se situe à l'intersection de l'extraordinaire et de l'oublié, du négligé ou du banal - déployant des éléments qui ne semblent pas nécessairement être en relation - pour perturber par des moyens nouveaux et expérimentaux la polarisation croissante de la vie quotidienne, y compris les hypothèses qui structurent le développement, l'utilisation et la perception des nouvelles technologies comme l'IA générative, plaidant pour la nécessité d'une nouvelle économie de l'art dans des articles publiés pour la Flux Media Gallery à Victoria, en Colombie-Britannique, et une performance filmée et présentée avec Q&R au Anteism Project Space Montreal. Son travail le plus récent « Optics for the Optically Fatigued, VR for the non VR » a été présenté à l'Atelier Circulaire Project Space, Montréal. Petra a travaillé dans la section des films sur nitrates à The National Film and Sound Archive of Australia, dans le cadre du Last Film Search Project, et est titulaire d'une maîtrise en photographie de l'Université Concordia à Montréal où elle a enseigné le cours Femmes et technologie. Elle est récipiendaire d'une bourse Nature and Technologies du Conseil de recherche (anciennement FCAR) et de J.W. Bourse de recherche McConnell
Shalom Tomas Neuman est né à Prague, en Tchécoslovaquie, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Il est le dernier survivant d'une grande famille juive, dont la plupart des membres ont péri dans l'Holocauste de l'Allemagne nazie. Sa famille a fui le régime communiste de Prague en 1948, après que le nom de son père a été inscrit sur une liste de morts communistes. Ils ont immigré à Haïfa, en Israël, où il a passé son enfance. À l'âge de 12 ans, Shalom, sa sœur et ses parents ont immigré à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Depuis 1980, il vit, travaille et entretient un studio sur la côte est des États-Unis.
Shalom a obtenu une licence et une maîtrise dans la double discipline de la peinture et de la sculpture à l'université Carnegie-Mellon en 1970 et 1972, respectivement. Il a obtenu la bourse Damrosch pour étudier en France, où il a reçu le prix de peinture des Beaux-Arts. Shalom a effectué son stage postuniversitaire en peinture et en sculpture à l'université d'Indiana. Shalom a reçu le prix Premio Galileo 2000 Award for Art XV Edition, présenté au Teatro della Pergola, à Florence, en Italie, le 23 septembre 2013. Shalom vit et travaille dans son studio à Easton, en Pennsylvanie. Il passe une partie de l'année à travailler à Prague, où il possède également une maison et un studio. Il a enseigné à la Cooper Union, à la Parsons School of Design, au Pratt Institute of Technology et a été conférencier invité à la School of Visual Arts, à Yale, à l'Académie des beaux-arts de Prague, au Beer Sheva College et au Ra'anana Cultural Center en Israël. Il a fait l'objet de nombreuses expositions dans des galeries et des musées aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud, en Asie et en Israël. Ses œuvres font partie des collections de la Galerie nationale de Prague (République tchèque), du Musée Kampa (République tchèque), du Musée Kafka (République tchèque), du Musée Ellis Island (New York), du Musée d'art moderne (Institut Carnegie, Pittsburgh, PA), du Musée d'art moderne (Nice, France), du Musée Da Image E Dom Som (Paris, France) et du Musée d'histoire de l'art (Paris, France), Museu Da Image E Dom Som (Sao Paolo, Brésil) et les collections privées d'Elaine DeKooning (East Hampton, New York), Enrico et Roberta Baj (Milan, Italie), Rosa Easman (UBU Gallery, New York), Chemical Bank (New York), Paolo Martini (Rome, Italie), Miguel Cardia (Portugal), et Ivan Karp (O. K. Harris Gallery, New York), entre autres.Nico est un ex-artiste, un ex-internaute et une victime en herbe. Actuellement en réhabilitation dans une zone rurale du Wyoming, sans téléphone ni Internet, ils passent 8 heures par jour à arracher les mauvaises herbes à la main, savourant la sensation d'être déracinés. Ils communiquent une fois par mois par le biais du wifi d'une station-service, d'un pigeon voyageur et de messages subliminaux dans les
Elisabeth Nicula
Elisabeth Nicula est une artiste et écrivaine de Norfolk, en Virginie. Elle s'intéresse à voir et à être vue par le monde non humain, les échelles abstraites d'espace et de temps, la poétique et la mémoire.Orange est un artiste britannique né à Newcastle qui vit à dans le quartier sud-est de Londres. Il s’intéresse particulièrement aux logiciels libres, au véganisme, à la sousveillance/surveillance, aux identités numériques et à la couleur orange. Les œuvres d’Orange traitent de domaines tels que la répétition, la réutilisation des données, la sécurité de l’information, les identités numériques et la répétition. https://reveb.la
Fabrizio Perozzi est né à Moresco, en Italie. C'est à quatorze ans qu'il commence à peindre, une pratique qu'il va poursuivre jusqu'à l'âge de 26 ans. Il a fait ses études en arts visuels à Milan où II a obtenu son Baccalauréat en Arts à l'Académie des beaux-arts de Brera (1970). Après des études de philosophie à 'Université de Milan, il est allé à Paris où il a obtenu son Diplôme de l'École Supérieure d'Arts graphiques (1978).
Pendant une dizaine d'années, il travaille comme graphiste concepteur pour divers organismes culturels et, ensuite, comme rédacteur en chef adjoint chargé du visuel dans un magazine. Parallèlement à cela, il pratique la photographie, et l'exposition de ses oeuvres reçoit un accueil très favorable. En 1987, il vient à Montréal et travaille comme directeur de création en communications. Même s'il a cessé de peindre durant cette dernière période, il a toujours maintenu un fort lien à l'art sur l'évolution duquel il note ses réflexions personnelles. C'est dans son Journal qu'il consigne ces réflexions, et il sera intéressant de constater que ce Journal va jour lui-même un grand rôle dans sa nouvelle production artistique. En 1989, en effet, il décide de revenir définitivement et totalement à la peinture.. L'année suivante, il expose pour la première fois à Montréal à la Galerie Michel Tétrault Art Contemporain et, en 1992, toujours dans cette même galerie, se tient une deuxième exposition. Par la suite, Perozzi exposera en solo et en groupe à diverses reprises. La Collection des Prêts d'œuvres d'art du Musée de Québec et la Collection Loto Québec ont acquis de ses oeuvres. Son travail se retrouve également dans des collections privées à Montréal, Toronto, Princeton, Paris, Lausanne, Milan, Hong Kong. Fabrizio Perozzi a reçu des bourses du Conseil des Arts du Canada et du Conseil des Arts et des Lettres du Québec.Né à Rio de Janeiro, au Brésil, Il vit et travaille actuellement à Montréal et à São Paulo. Il est un chercheur in-disciplinée en architecture, un artiste et un commissaire, et travaille sous l’égide du Parallaxe architectural, une méthodologie qui met à mal la vision comme unique moyen d’observer la réalité. De plus, Pilis est l’instigateur d’un projet multimédia qui explore des enjeux soulevés par « l’architecte aveugle », figure critique de la modernisation de la vision et de l’effondrement de la profondeur de champ. Pilis a également fondé et dirigé Archimemoria et Parallaxe architectural, organismes sans but lucratif pour l’architecture, l’art, la perception, l’exposition et l’édition. Il a auparavant enseigné à la maîtrise dans la faculté des beaux-arts de l'Université Concordia, la faculté d'architecture et des beaux-arts de l'Université de Toronto, et a été directeur du programme Global Architecture São Paulo à la John H. Daniels. Pilis a également enseigné au programme de Master Metropolis en architecture et culture urbaine à Barcelone. Pilis a exposé, enseigné, donné des conférences, animé des ateliers et publié à l'échelle internationale. Il a exposé dans diverses Biennales d'art/architecture, Pinacothèque de São Paulo, Fondation Tapies de Barcelone, IFA Stuttgart, Tate Modern de Londres, Musée contemporain de São Paulo, Power Plant Toronto, Place Ville Marie Observatoire 360 et Galerie Joyce Yahouda.
Cristina Planas est une artiste espagnole/canadienne qui a étudié à Londres au Royaume-Uni et est née à Montréal, au Canada. Elle travaille dans le domaine de l'image en mouvement, de la photographie, des nouveaux médias et maintient une pratique de performance élargie qui est née de son expérience en devenant une championne internationale de boxe. Travaillant dans et à travers les disciplines physiques, elle est une exploratrice du corps en tant que vecteur de connaissance de rencontre avec le moi, dont elle reconstruit et réfracte certaines parties à travers son travail sur les personnages. Ses recherches narratives intergénérationnelles lui permettent de reconfigurer le passé par le biais de vignettes performatives qui deviennent une guérison du passé et une création de l’avenir.
Avec le soutien du Conseil des arts du Canada, elle est actuellement en train de développer une pièce de cinéma élargi en trois parties qui se situe à l'intersection de la performance en direct, de la réalisation de films et de l'installation. En 2020, elle a créé Espace Brutale, un espace de projet et une plate-forme en ligne pour la création et la diffusion d'art et de sujets connexes. Les œuvres précédentes comprennent une performance en ligne à 9 angles intitulée The Fool's Confession créée en direct sur Zoom le 1er avril 2020. The Fissure a été présenté à la galerie COB en octobre 2018. En avril 2020, son poème vidéo Ode from Academy Street a été sélectionné par Jesse Darling dans le cadre de Everything Happened So Much, et 9.7 Billion Of Us a été sélectionné par Misha De Ridder dans le cadre de la sélection So real, So very now au festival du court métrage d'Oberhausen. Parmi les expositions passées, citons Art Was Just A Substitute For The Internet (2021) et Peregrination (2019) des pavillons en ligne sur The WRONG digital arts biennale, une installation dans NEW WORK PART III : SUBJECT, COB gallery in London (2018), des installations dans Michele Lamy's, Forever Young exhibition at JOYCE Gallery à Paris (2018), et LAMYLAND in Selfridges (2018). Elle est actuellement boursière en arts visuels à l'Akademie Schloss Solitude. Elle est diplômée de la Slade School of Fine Art.Le directeur artistique Doron Polak est un artiste et un conservateur qui vit et travaille à Tel Aviv. Il a étudié les beaux-arts à l'université de Tel Aviv et à Talma Yalin (Tel Aviv) et a suivi des études supérieures en art dramatique créatif à Berlin et à Londres. Il est le fondateur de Projective, une organisation qui aide les artistes à s'intégrer dans le marché de l'art, et d'Artura, qui se consacre à la promotion de l'art public et communautaire. Il a organisé, à ce jour, plus de 300 expositions en Israël et dans le monde entier, notamment lors de la Biennale de Venise et de la Documenta de Kassel, du festival d'Édimbourg - il est le fondateur du « thinking Ahead Forum » (artistes scientifiques) et de la collection Art for Peace du Dr Fischer.
Doron Polak est le représentant du centre Artists Museum à Tel-Aviv et a été le directeur du projet international « Coexistence » à Mitzpe Ramon (avec plus de 200 artistes venus du monde entier).Chantal Rousseau est une artiste canadienne qui vit actuellement à Dawson City, au Yukon. Sa pratique s'appuie sur une approche biorégionale, utilisant l'expérience corporelle et la recherche pour se familiariser avec des écosystèmes spécifiques. Les relations inter-espèces qu'elle développe constituent la base d'animations, de GIF, d'aquarelles et d'œuvres audio. Elle pratique l'art depuis plus de 25 ans.
Pour les projets récents : www.chantalrousseau.caSylvia Safdie est née en 1942 à Aley, au Liban, et a vécu en Israël avant de s'installer au Canada en 1953. Elle a obtenu un baccalauréat en beaux-arts à l'université Concordia en 1975. Basée à Montréal, son travail a été exposé au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Chine.
Sylvia Safdie est une artiste pluridisciplinaire qui pratique le dessin, la peinture, la sculpture, l'installation, la photographie et la vidéo. Ses expériences de voyage nourrissent sa pratique, dont les thèmes récurrents sont la mémoire, le temps et la présence. Dans son travail méditatif et poétique, Safdie met en valeur la matérialité des éléments naturels par l'illumination, le cadrage, le placement minutieux et une approche méticuleuse. Safdie réduit ses matériaux à leur essence et intercepte des moments éphémères dans chaque élément. Au cours des vingt dernières années, elle a travaillé avec la vidéo pour approfondir la nature spatiale et temporelle de ses matériaux sur l'écran.Molly Soda (Amalia Soto) est une artiste visuelle qui utilise diverses plates-formes de médias sociaux pour héberger son travail, ce qui lui permet d’évoluer et d’interagir avec les plates-formes elles-mêmes. Elle s’intéresse aux pratiques d’archivage sur Internet, réalisant souvent un travail qui s’approprie sa propre image, en particulier ses premières interactions avec Internet à l’adolescence. Soda aborde les questions de revisiter son propre héritage virtuel, comment nous nous présentons et performons pour d'autres imaginés en ligne et comment la nature toujours changeante de notre espace numérique affecte nos souvenirs et notre concept de soi.
Jan Swinburne’s est un artiste canadien dont la pratique interdisciplinaire associe des médias traditionnels et numériques qui utilisent la génération/dégénération/régénération d’image. Tous les médias sont abordés à partir de la sensibilité du peintre en mettant l’accent sur les représentations audiovisuelles, la métaexposition et la complexité comme cadre esthétique.
Swinburne a projeté ses oeuvres, présenté des conférences et exposé son travail en galeries et en ligne à l'échelle internationale à Greenwich en Angleterre, à New York, au New Jersey, à South Hampton, à Washington DC et au Canada. Swinburne travaille et vit à Toronto, Canada.Systaime, de son vrai nom Michaël Borras est un plasticien contemporain français .
Artiste du multimédia et des réseaux, Systaime est le fondateur du mouvement French Trash Touch créé en 1995, il est un acteur important du réseau artistique alternatif international, de l’art numérique et de l’art en réseau. Michaël Borras intervient sur de nombreux événements artistiques internationaux en tant que producteur, organisateur, conférencier, commissaire d’exposition et créateur. En 2011, il est l’instigateur et le fondateur du Spamm, musée des Arts super modernes.Céline B La Terreur est allée à l'université. Elle détient même un diplôme de maîtrise en Arts visuels et médiatiques (UQÀM, 2002) ainsi qu'un Baccalauréat en Arts plastiques (Concordia, 1999). Elle est également diplômée en études féministes (Women and the Fine Arts, Université Concordia, 1999).
Céline B. La Terreur a présenté son travail en solo, en particulier dans la très prestigieuse Galerie Joyce Yahouda à Montréal et par la suite, son travail a circulé à l'international (New York, Los Angeles, Berlin, Paris, Tel-Aviv, Londres, Marseille). Elle a fondé en 2004 le collectif de musique et de performance Les Céline B. La Terreur, dont l’objectif est de produire exceptionnellement peu de musique, et a été déclarée Numinescence de l'Académie québécoise de 'Pataphysique en 2016. Sa pratique de la ‘Pataphysique l’incite à prendre très au sérieux l’art de ne pas se prendre au sérieux. Sa pratique artistique embrasse avec enthousiasme cette citation de Marcel Duchamp : « Le grand ennemi de l’art, c’est le bon goût ». Céline B. La Terreur vit et travaille à Saint-Léopard, Qc.Cynthia a commencé à dessiner à l'âge de 2 ans. Alors qu'elle était à école secondaire, son professeur d'art lui a donné une phrase d'instruction : « tenez le crayon comme si vous signiez votre nom ». Ses professeurs ont constaté que son style de dessin était unique et l'ont baptisé Lundism et lui donnaient sa première exposition solo à l'âge de 16 ans.
Au début, Cynthia a cherché un emploi dans le travail social, mais la création artistique demeurait toujours une partie de sa vie. Pendant qu'elle travaillait comme assistante psychiatrique, elle commençait à faire des portraits de ses clients. Beaucoup de ces personnes étaient non parlantes avec les difficultés cognitives. Mais ils étaient heureux de poser pour un portrait pour Cynthia et réagiraient avec une joie et une reconnaissance pures à ses résultats. La clinique où elle travaillait l'a mis au défi en lui demandant si elle voulait concevoir des annonces publicitaires pour l'entreprise. Cela lui a conduit éventuellement à une carrière exceptionnelle dans l'art commercial. Cynthia a complètement arrêté de dessiner pendant quinze ans mais elle a soudainement recommencé à dessiner à l'âge de 33 ans, lorsqu'elle créa Heliotroped. Elle a fait dix dessins cette première année, tout dans le même style, quand tout à coup en 1991, elle a dessiné Cacophony où les aspects de sa manière à dessiner fut plus normalisé. Elle a continué dans ce style de dessin depuis. Cynthia a commencé à exposer ses œuvres grace à un ami qui a mis une copie de Heliotroped dans un concours d'art où il a remporté le prix Best of Show. L’oeuvre a ensuite remporté de nombreuses autres mentions et a été choisie pour l'exposition new-yorkaise "Brave Destiny: The New Surrealists", une exposition qui comprenait des œuvres de Salvador Dalí et H.R. Giger. Les œuvres de Cynthia ont été acclamées par la critique dès le début et ont été exposés, honorées et collectionnées dans le monde entier. Son travail se concentre sur sa fascination d'être à la fois un être physique et spirituel. Dans cet équilibre délicat, elle explore l'énergie magique qui en résulte. Ses oeuvres uniques attirent l’attention de spectateur et semblent chuchoter : « Approchez-vous plus près. J'ai quelque chose à vous montrer ».Florence-Ariel Tremblay est une artiste visuelle originaire de Chicoutimi qui vit et travaille à Tio'tia:ke / Montréal depuis 2010. Elle a découvert les arts imprimés au cours de ses études en design graphique au Cégep du Vieux-Montréal (2008), puis a développé sa connaissance des pratiques en impression, céramique et photographie au cours de son baccalauréat en beaux-arts à l’Université Concordia. Elle y a obtenu son BFA (Bachelor of Fine Arts) avec distinction en 2019 (majeure en Print Media).
Elle a également approfondi sa connaissance de l’histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal (2016). Ce détour lui permet de mieux mettre en perspective sa pratique artistique et la pousse à déconstruire l’archétype de l’artiste. Elle a reçu le prix “CUAA Fine Arts Prize” (2019) de l’association d’alumni de Concordia (CUAA) et est la 4e lauréate de la “Bourse pour la relève des arts imprimés” de l’Atelier Circulaire (2021-2022).2021-2022). www.florence-arieltremblay.com FB /florencetremblayartiste IG @florence.trembJulie Tremble est une artiste de la vidéo et de l’animation. Nourrie entre autres par le cinéma, la littérature et la philosophie, elle se penche depuis 2014 sur la question de la représentation en astronomie. À partir de différentes sources : articles scientifiques, documentaires de vulgarisation, films, simulations numériques, documents de communication des agences spatiales, elle produit des vidéos et animations où s’entremêlent données scientifiques, documentaire et science-fiction. Julie Tremble détient une maîtrise en études cinématographiques de l’Université de Montréal (2005) ainsi qu’un baccalauréat combinant cinéma et philosophie (2000). Son travail a été présenté au Canada et à l’international, dans des centres d’art parmi lesquels : Musée Ludwig, Fonderie Darling, Galerie Foreman, Galerie B-312, Dazibao, Centre VU, Sporobole, Galerie Joyce Yahouda, ainsi que lors de différents festivals dont Mirage, Mapping, Festival du nouveau cinéma, Images Festival, le Festival des films sur l’art, Espace IM-Media, et ARKIPEL International Documentary and Experimental Film Festival. En 2013, elle reçut le prix du CALQ pour la meilleure œuvre d’art et d’expérimentation.
TTY est un artiste plasticien. Il développe conjointement deux problématiques : l’une à propos de l’évolution de l’espèce humaine, l’autre concernant la nature de l’acte artistique et son devenir par l’intégration des outils de création virtuelle. Son objectif : questionner la dématérialisation physique comme tendance majeure du monde contemporain.
Son travail est centré sur la photographie, la photographie virtuelle, la photographie en 3D, la sculpture, l’impression 3D, la Réalité Virtuelle et l’art numérique Il vit et travaille en France Le rôle de l'art n'est pas d'exprimer la personnalité, mais de la surpasser. . T.S. Eliot. L'art, dans ses nombreuses formes, ne sert pas simplement de conduit pour les émotions personnelles, mais, comme un médium transcendant, est un tremplin vers des vérités universelles plus grandes.Né en France, de nationalité canadienne, Shaoul Y. passe sa vie entre l’Italie, le Brésil, le Canada et l’Angleterre où il fait des études d’architecture d’intérieur, avant d’adopter le Brésil comme son pays de résidence.
Depuis son plus jeune âge, Shaoul Y. crée des œuvres d’art, dont le dessin qu’il affectionne plus particulièrement. Plus tard, grâce à ses études en architecture d’intérieur, il crée des espaces dans lesquels il incorpore les meubles qu’il crée de toutes pièces. Récemment, Shaoul Y. centre sa pratique principalement sur le dessin numérique. Son travail se dévoile comme une narration inspirée des interactions quotidiennes de la vie, témoin d’une vie en mouvement. Ses œuvres mettent en scène des personnages qui évoluent dans les jeux de la séduction, du voyeurisme, de l’identité et de la vulnérabilité, auxquels s’ajoutent des touches d’humour. Les œuvres de Shaoul Y. font partie de collections privées au Brésil, Canada, St-Martin et en Suisse.Jean-Philippe Thibault a terminé sa maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal en 2003. Depuis, son travail a été présenté dans différents lieux et évènements au Canada, au Japon, en Espagne et en France. Il est membre de la Galerie Clark (Montréal). Sa pratique entremêle la création vidéographique, l’animation, la maquette, la photographie, le dessin, l’illustration, le bricolage sonore et musical ainsi que, à l’occasion, la performance.
Laurent Bouchard
De 2000 à 2019 Laurent Bouchard dirige la Galerie d’art d’Outremont pour la ville de Montréal. Participant à la sélection des artistes, il organise plus de 190 expositions et événements reliés à l’art contemporain. Il assure la logistique des expositions, la rédaction des communiqués de presse et la diffusion dans les médias sociaux. Il joue un rôle déterminant dans l’organisation de rencontres, dans le but de transmettre la vision des artistes et d’expliquer leurs œuvres, aussi bien avec le public scolaire qu’avec un public varié.Laurent Bouchard est un artiste détenant un baccalauréat en art visuel et une maîtrise de l’UQAM. Il participe à plus de 100 expositions, ce qui permet à ses œuvres de faire partie de plusieurs collections privées et publiques au Canada et aux États-Unis, en Europe et à Hong Kong. Ses expositions ont été couvertes par de nombreux articles. Attentif aux détails, son œuvre reflète l’humour à travers un amalgame de figures, de combinaisons inattendues de matériaux glanés et de références culturelles insolites. Il est récipiendaire de plusieurs prestigieuses bourses du Québec et du Canada.
Andres Manniste est un artiste visuel qui travaille avec les techniques de communication depuis 1993. Il a toujours intégré ces environnements technologiques et critiques dans ses projets. Il a participé à de nombreuses expositions individuelles et collectives au cours de sa carrière. Il est répertorié dans la base de données sur l'art canadien du Centre for Contemporary Canadian Art et ses toiles se retrouvent dans plusieurs collections privées et publiques, dont le Musée d'art contemporain de Montréal, les collections patrimoniales de la Bibliothèque nationale de Québec et la Banque d'art du Conseil des arts du Canada. Parmi ses projets précédents, en tant que commissaire, citons: en 2021, le pavillon en ligne, L'art n'était qu'un substitut d'Internet (d'après la déclaration de l'artiste Vuk Ćosić en 1997) pour la 5ème édition de la Biennale wrong internationale de l’art numérique comprenant une quarantaine de participants internationaux. Pérégrination, dans le cadre de la 4ième Biennale wrong 2019-2020. Trade/Gift/Purchase: Artistes collect (2015), Galerie Warren G. Flowers, Montréal; Interference: Audrey Davis, Jinny Yu and Christina Mancuso (2004), Galerie Warren G. Flowers, Montréal.
Joyce Yahouda
Depuis 1981, à partir de Montréal, Joyce Yahouda se consacre à promouvoir les carrières d’artistes de toutes discipline, aussi bien les artistes de la relève que ceux déjà établis. À partir de ses galeries, la Galerie J. Yahouda Meir et la Galerie Joyce Yahouda, ainsi que par son travail de commissaire indépendante, elle présente un éventail dynamique d'expositions engageantes, souvent hors normes, privilégiant les expositions traitant de la condition humaine. Cultiver une pensée intuitive, créative, voire latérale, et sortir des sentiers battus sont pour Joyce Yahouda les éléments moteurs des projets qu’elle porte. Elle produit des évènements, tels que des performances, des tables rondes, des conférences, des lancements de publication et des livres d’artistes. Elle conçoit des expositions, seule ou en collaboration avec des partenaires, tant locaux qu’internationaux. Elle a organisé plusieurs expositions à Londres, Paris, Lyon, Genève, Ischia, Rio de Janeiro, New York, Miami, ainsi qu’au Québec. Elle a participé à de nombreuses foires au Canada, aux États-Unis et en Europe. Joyce Yahouda participe à plusieurs projets collaboratifs qui accordent une grande place à l’art numérique. Déjà en mars 2011, à sa Galerie Joyce Yahouda, elle présentait La vie sur écran, un programme d’art en ligne commissarié par Perry Bard, une artiste et commissaire canadienne établie à New York qui explore l’art Web et dont les vidéos et installations ont été présentées au Guggenheim et au MOMA. En 2021 Yahouda organise la double exposition Transmission et ReTransmission, où l’emploi par les artistes de codes QR renvoyait à des contenus vidéo ou audio en ligne. En 2023 elle est l'une des commissaires de la biennale internationale virtuelle, The Wrong Biennale.. En 2019, elle crée La Société de la pensée latérale, afin d'encourager les échanges d'idées créatives. Son intérêt à écrire ses textes d'expositions l'inspire ensuite à fonder Les éditions de la Galerie Joyce Yahouda - La société de la pensée latérale, en 2023. En 2012, Joyce Yahouda remporte le prix de « Galeriste de l’année au Québec », lors du Gala des arts visuels organisé par l’AGAC (Association des galeries d’art contemporain de Montréal).